Devant la presse, Pengani Makoma, en séjour à Kinshasa a témoigné la grandeur de Dieu qui l’a sauvée alors qu’elle avait été déjà déclarée morte cliniquement par les médecins, suite à un cancer du sang et des os.
« J’étais sérieusement malade. Normalement, j’allais mourir mais, Dieu a accompli une grande chose en moi. En peu de mots, je déclare que ce que les médecins disent, n’est pas ce que Dieu déclare. Car là où les médecins mettent des signatures, Dieu dit que ce n’est pas fini. Cela veut dire que c’est Dieu qui a le dernier mot à dire et le dernier cachet à mettre », a-t-elle déclaré, larmes aux yeux.
A en croire la chanteuse, cette dure épreuve fut vraiment quelque chose de très touchante dans sa vie. « Avant, le docteur m’avait dit que c’était deux maladies. La première, c’était le cancer du sang et la seconde, le cancer des os. Ils sont venus me dire enfin que c’était le cancer du sang, mais que je n’allais pas faire longtemps sur cette terre parce que, c’était déjà à un stade dangereux. Mais le Dieu du ciel a fait son miracle. C’était un cancer du sang de dernier stade, il fallait que je meure en janvier 2021, à 16 heures je crois (…) Mais Dieu les avait confondus. Ça veut dire qu’il y a un Dieu qui dit toujours le dernier mot », a-t-elle insisté.
Pendant ce temps, avec le soutien de son incontournable manager Bienvenu Mpungi, la chanteuse Pengani Makoma a lancé depuis le mois de mars dernier à Londres au Royaume-Uni, son maxi-single intitulé « Jérusalem », sur toutes les plateformes de téléchargement légal et en streaming.
Il faut cependant souligner que, l’une des plus belles voix féminines de la République démocratique du Congo, autrement dit « la voix qui déchire les cœurs », Pengani Makoma a fait son come-back après presqu’une décennie de silence. Son maxi-single de cinq morceaux avec les chansons : « Mwinda », « na pesi », « Jérusalem (version rumba) » et Jérusalem (version soukouss), et une musique instrumentale, contient des ingrédients de la pure rumba congolaise, du gospel parfumé au rap, du son hawaïen dominé par la guitare « Ukulele » mais aussi de la musique de recherche. Tout ce mélange va certes édifier plus d’un chrétien, partant de son témoignage personnel.
Par Raphaël Mansangu/Notabilitecd
Voilà le pourquoi de servir nôtre Dieu, je me souviens quand vous vous étiez rendus au sud kivu précisément à Bkv, je suis devenu un grand chanteur à cause de vôtres famille 👪, que la gloire et la louange lui reviennent.