Sur le plan organisationnel de la neuvième édition de jeux de la Francophonie, la République démocratique du Congo a mis tout le monde d’accord. A l’unanimité, Kinshasa a convaincu le concert des Nations francophones ayant participé à ces Jeux dans le domaine des infrastructures et même de l’accueil.
Au cours d’une interview accordée à l’Agence France-Presse(AFP), la directrice du comité international des Jeux de la Francophonie (CIJF), Zeina Mina n’a qu’une seule phrase : « malgré les reports et des inquiétudes, Kinshasa a réussi à organiser les 9e Jeux de la francophonie », qui s’achèvent ce dimanche 06 août.
impossible n’est pas congolais », a-t-elle argué.
« Avec l’accompagnement des instances de la francophonie, le pays hôte a relevé le défi et a réussi à organiser les 9e Jeux de la francophonie », s’est-elle réjouie.
Lors de cette même interview, Zeina Mina a souligné que les Jeux de la Francophonie ne sont pas que des compétitions et des concours. Pour appuyer ses propos, elle a soutenu que les jeux s’inscrivent dans un projet social.
« Aujourd’hui, leur organisation a permis de former des ressources humaines, des arbitres, des juges, des gens en événementiel, de développer des infrastructures, d’impulser des stratégies de développement, des programmes d’éducation physique », a-t-elle précisé.
Le succès de ces jeux de la Francophonie en République démocratique du Congo est passé notamment par la construction des infrastructures sportives de qualité. De la réfection totale du mythique stade Tata Raphaël et des Martyrs passant par la construction des gymnases modernes de Basket-ball, Tennis… à la construction et la modernisation des sites de logement des athlètes, le gouvernement congolais a décaissé plusieurs millions de dollars américains.
Politico.cd/Notabilitecd.info