Quand un aveugle vous dit qu’il va vous lapider, c’est qu’il a le pied sur Caillou, selon un adage local bien connu. Avant de lancer son incursion en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine a menacé l’OTAN de graves répercussions si jamais elle décidait d’intervenir pour défendre l’Ukraine.
Depuis, les Occidentaux se sont cantonnés à annoncer des sanctions ici et là sans pouvoir riposter une arme à la main.
En effet, ils craignent que le président russe mette à exécution les menaces qu’il a clairement proférées à leur encontre.
En réalité, ce qui empêche le monde de lancer toute sorte de réponse militaire, c’est le missile balistique russe connu sous le nom de ” SATAN 2 “.
Ce missile russe, connu officiellement sous le nom de RS28-SARMAT mais familièrement sous le nom de “SATAN 2” par l’Occident, est le plus gros jamais construit.
Le « SATAN 2 » est un missile hypersonique (7 km/s) doté d’une technologie furtive qui lui permet de tromper les radars ennemis. Il est également capable de frapper une cible à une distance de 10 000 kilomètres. Étant donné que la Russie et les États-Unis ne sont séparés que de 8881 kilomètres et que la France n’est séparée que de 6217 kilomètres, cette capacité comprend tous les pays européens et plusieurs villes des États-Unis.
« SATAN 2 » serait équipé de 12 têtes nucléaires, lui permettant de détruire des pays comme la France en quelques secondes. Il a une charge de 40 mégatonnes, ce qui le rend 2000 fois plus puissant qu’une bombe atomique.
Depuis 2009, la Russie développe « SATAN 2 » pour remplacer le SS-18 ou « SATAN 1 ». Jusqu’à présent, aucun média n’a été en mesure de nous dire s’il a été affecté ou non à l’armée russe.
Ainsi, la somme de la peur de l’utilisation de SATAN 2 et d’autres missiles tels que SATAN 1, Avangard, Zirkon, etc., ne donne le courage à aucun pays atlantiste de fuir vers la Russie. Ils se limitent ainsi à des condamnations et des sanctions, qui réapparaîtront à la face des Européens comme un boomerang, comme elles l’ont fait par le passé.